Il s’est tenu avant la fin du moi de septembre 2022 passé, un atelier de 5 jours sur l’analyse et l’utilisation des données des violences sexuelles et celles basées sur le genre à Dakar capitale de la République du Sénégal.
L’atelier organisé par le consortium des organismes internationaux dont le Fonds des Nations-Unies unies pour la Population (UNFPA), l’ONU Femme, Spotlight initiative,… à l’intention des organisations féminines qui œuvre dans la thématique VBG avait pour but, le partage d’expériences et l’intégration des nouvelles méthodes et stratégies dans la prévention et protection des violences sexuelles et celles sur les genres.
Étant invitée spéciale de l’UNFPA, l’Organisation Non Gouvernementale Cris du Peuple Opprimé (CPO-ONG) avait représentée la République Démocratique du Congo (RDC) à ces assises aux côtés notamment du staff UNFPA, de l’Institut National de Statistiques (INS), du département des sciences de la population et du développement de l’Université de Kinshasa.
Des participants à cet atelier de formation avaient été outillés sur la collecte, l’analyse et l’utilisation des données sur les indicateurs de la violence faite aux femmes et aux filles, les Violences Basées sur le Genre (VBG), les pratiques néfastes ainsi que la santé de la reproduction et les droits reproductifs. Indique Docteur Marleine Ndelela coordinatrice de CPO-ONG.
Docteur Marleine Ndelela en avait également profité pour partagé les expériences de son organisation qui est active dans la région du Grand Kasaï.
Sachez que plusieurs autres organisations féminines venues du Cameroun, Mali, Bénin, Niger et Burkina Faso avaient également pris part à ces assises.
Des résolutions allant dans le sens de protocole de recherche ont sectionnées cet atelier de formation. Pour la partie RDC, un phéromone de sexe de survie auquel recours des femmes vivants dans des zones à conflit a était soulever. Renchérie Docteur Marlaine Ndelela.
Bernard P
