
En exécution du projet ‘’ mécanisme de prévention et Amélioration d’une prise en charge de qualité des survivantes de violences sexuelles et celles basées sur le genre’’, Une équipe de l’ONG Femmes main dans la main pour le développement intégral était mardi 6 juin en séance de travail avec la ministre du genre et son collègue de l’intérieur y compris le représentant du HCR.
Il était question pour l’ONG FMMDI au cour de cette séance de travail, d’obtenir des garanties sécuritaires et l’accès aux chefs coutumiers par, les agents recrutés pour une étude Anthropologique sur les facteurs à la base des Violences sexuelles et celles basées sur le Genre dans les provinces du Kasaï, Kasaï Central et Kasaï Oriental.
Nathalie Kambala, directrice pays de cette ONG, a indiqué que cette étude qui comprend 4 mois a pour but de comprendre correctement les facteurs et risques des VBG au sein des communautés, identification des mesures d’atténuation des risques auxquels les femmes et filles font face.

A travers les focus groupes, des scientifiques recrutés pour cette étude, vont également dressez le contexte socio-antropologique.
‘’Les actions à mener, c’est premièrement l’analyse approfondie de nos cultures, coutumes, comprendre la dynamique sociale surtout, comment la femme et fille évoluent des périodes à périodes dans la région du Kasaï…’’ Explique Nathalie Kambala
Des données à collecter par des équipes, impacterons sur les interventions des structures et acteurs impliqués dans la prévention et prise en charges des survivantes des Violences sexuelles et celles basées sur le Genre.
Le projet que met en œuvre Femmes main dans la main pour le développement Intégral est financé par le haut-commissariat des Nations-Unies pour le refugiés.
Par Bernard P