
Sous le haut patronage de la présidence de la République, Il s’est tenu du 19 au 20 juin à Kinshasa, la conférence internationale sur les violences basées sur le genre (VBG). Ces assises de deux jours rentrent dans le cadre de la Commémoration de la journée internationale de lutte contre les violences sexuelles en temps de conflit célébrée chaque le 19 juin.
Plusieurs organisations de la société civile et autorités du pays ainsi que celles de l’intérieur ont pris part à ces assises.
Pour Nathalie Kambala qui représentait l’ONG Femmes main dans la main pour le développement intégral (FMMDI) , les assises de Kinshasa ont permis aux acteurs de passer en revue les avancées en terme de lutte contre les violences sexistes sur l’ensemble de la république.

A l’en croire, la guerre qui se vit dans la partie orientale de la RDC a, occasionnée la montée des cas des violences sexuelles et celles basées sur le genre. Kambala luse a aussi évoqué, les normes sociales qui avilissent la femme.
Elle a salué l’engagement du chef de l’Etat Felix Tshisekedi, champion en masculinité positive à lutter contre ces fléaux sous toutes leurs formes. La directrice pays de l’ONG FMMDI est revenu également sur l’adoption des différents textes juridiques qui promeuvent les droits de la femme et de la jeune fille.
Cette conférence ouverte lundi par Felix Tshisekedi et fermée mardi par sa conseillère en matière de lutte contre les VBG a, permis aux participants de réfléchir sur les politiques en cette matière ; c’était également l’occasion pour les acteurs de définir les stratégies communes de lutte.
Trois personnes ont représenté le Kasaï central à cette conférence il s’agit de Chantal Ndaya, cheffe de division du genre, professeur Augustin Loko, paneliste et Nathalie Kambala de la société civile.
Par Bernard P